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25 août 2008

MOUSSA ould hamed en mode patinage

Voici Un exemple du doute qui est entrain de s’installer dans les esprits des laudateurs mauritaniens. Le journal BILADI sous la plume de son éditorialiste OULD HAMED a écrit au lendemain du putsch. « Il ne sert à rien de pleurer sur le sort de la démocratie. Il ne sert à rien de crier sur tous les toits sa volonté de remettre au pouvoir un régime qui est bien mort. L’essentiel est de lutter pour que les libertés soient maintenues et pour que des élections libres soient -le plus rapidement- organisées et pour que le rôle de l’armée soit définitivement souligné, afin qu’il ne soit absolument plus possible de mener un putsch contre la légalité.. »
J’explique à ceux qui auraient raté ce passage, il faut oublier la démocratie,"emsa7 mat" pour regarder vers l’avant et préparer les élections organisées par ould Azize en qui nous croyons. il va nous fixer des nouvelles règles et il mettra la barre si haute qu’aucun militaire n’osera intervenir dans la futur démocratie épicée à la militaire. il rajoute avec le culot et la grace dont il parait etre maitre dans le genre des conseils sur la démocratie avec des mots simples qui sonnent comme un slogan sovietique « Il ne faut pas rester coincé sur l’instant, il faut regarder en avant ». Puis subitement il découvre son erreur d’appréciation face à la fermeté de l’opinion internationale et il se dit dans son fort intérieure "mince j’ai parié sur le mauvais cheval" pour se corriger en s’érigeant en sage défenseur de la démocratie ainsi il écrit dans son dernier éditorial « Mais pourquoi se mettre sur le dos la communauté internationale? Elle ne nous demande pas de nier nos valeurs, ni de trahir notre pays, mais simplement de respecter les valeurs de la démocratie… »
la suite à demain
Dr kleib
Pour lire l'editorial en question voici le lien
Edito du journal BILADI 122 du 11/08/2008
Il ne sert à rien de pleurer sur le sort de la démocratie. Il ne sert à rien de crier sur tous les toits sa volonté de remettre au pouvoir un régime qui est bien mort.

L’essentiel est de lutter pour que les libertés soient maintenues et pour que des élections libres soient -le plus rapidement- organisées et pour que le rôle de l’armée soit définitivement souligné, afin qu’il ne soit absolument plus possible de mener un putsch contre la légalité.Les Mauritaniens doivent d’abord pleurer sur leur retard culturel et politique, sur la nullité de leur élite, et sur la corruption qui ronge leur société. Ce sont là des maux que nous devons vite combattre. Car ne l’oublions pas, le défunt régime a d’abord été la victime de ces fléaux là.En attendant, ce qui reste des débris de la démocratie doit être sauvé. Comment? En respectant les structures encore en place, en organisant des débats libres, en prônant le dialogue entre toutes les sensibilités, et en réfléchissant ensemble sur notre avenir démocratique. Il ne faut pas rester coincé sur l’instant, il faut regarder en avant.


Edito du journal BILADI 130 du 24/08/2008
Le constat est évident: notre pays risque de devenir le paria de la communauté internationale.Après les USA, la France, l’UA, le conseil de sécurité… voici la Banque mondiale, leplus grand bailleur de la Mauritanie, qui suspend, jusqu’au retour à la normale, tous ses financements. Il s’agit d’une enveloppe de 300 à 400 millions de dollarsconsacrée à d’importants et grands projets de développement (Aftout Sahli, les routes, hydraulique…) qui, en plus, employaient un grand monde. Des voix se lèvent dans le pays pour minimiser l’apport des financements extérieurs dans le développement. Elles vont même jusqu’à dire que nous pouvonsnous passer du soutien des autres si nous arrivons seulementà bien gérer nos biens propres. Cela est faux.La Mauritanie est un pays, dont les habitants sont certes fiers d’eux-mêmes et leur patrie, mais pauvre et sous développé. Mais pourquoi se mettre sur le dosla communauté internationale? Elle ne nous demande pas de nier nos valeurs, ni de trahir notre pays, mais simplement de respecter les valeurs de la démocratie…Nos engagements en tant qu’hommes de valeurs, justement.La classe politique, alliée aux militaires ou opposée à eux, doit chercher à s’entendre sur le minimum afin de préserver nos populations, déjà éprouvées par la cherté du quotidien, contre tout risque d’embargo. Il est vrai que nous sommes installés dans une crise réelle de légitimité du pouvoir, tout comme nous nous trouvons devant un fait accompli. Les uns et les autres doivent réviser leurs exigences pour sauverl’essentiel. A eux maintenant de trouver les voies et moyens d’y arriver.

6 commentaires:

Anonyme a dit…

il a beneficié des largesses de ould abdelaziz pendant l'éré CMJD comme DIRECTEUR DE L'AMI. il a connu l'opulence, les 4X4 SG, etc.
l'argent facile.
merci Dr pour cette mise au point.
un fidel visiteur

Anonyme a dit…

Hamed pouvait continuer à servir le couple présidentiel et gardera l'opulence et les 4x4.

C'est une conviction de dire que le régime dé..depannage qui a fait 15 mois n'a servit que la première dame sans pour autant être putschiste.


filsdubeld

Anonyme a dit…

extrait du journal:la tribune couple présidentiel : A la conquête des cœurs
7 mars, 2008 Posté dans opinion

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Couple présidentiel :

A la conquête des cœurs



Une chose est sûre : depuis Moktar Ould Daddah et Marième Daddah, il n'y a pas eu de vrai ‘couple présidentiel' en Mauritanie. L'arrivée au pouvoir de Sidi Ould Cheikh Abdallahi va-t-elle changer la chose ?

Beaucoup de supputations avant, pendant et après la présidentielle sur le rôle de chacun au sein de cette famille qui a fantasmé l'opinion dans les salons de Nouakchott. A telle enseigne que les mouvements de tous les membres de la famille Ould Cheikh Abdallahi sont suivis à la loupe. ‘Scrutateurs' malintentionnés et observateurs sont du même avis : un nouveau style est en train de voir le jour à la présidence.

Pour lui, cela a commencé par la prière du vendredi à la mosquée centrale de Nouakchott. Du jamais vu depuis le milieu des années 60. Cet acte qui aurait dû être salué sans réserve, a été l'objet de critiques et de scepticisme. Cela s'est poursuivi avec les visites de terrain. Notamment dans les hôpitaux. La dernière est celle effectuée le jour de la fête du Fitr à l'hôpital Zayed. Il a voulu en faire ‘une visite d'information'. Dans sa déclaration à la presse, il a dit avoir ‘jugé nécessaire d'effectuer cette visite en ce jour béni qui nous est cher en tant que musulmans, car étant une occasion d'échange d'excuses et de tolérance'. ‘J'aurai voulu visiter tous les malades pour leur faire part de ma sympathie, mais, a-t-il dit, la visite s'est limitée cette fois-ci à cet hôpital'. Même s'il a appelé ‘à une amélioration des prestations dispensées aux patients', certains lui reprochent de n'avoir ‘rien amené, en ce jour d'offrandes, aux malades'. Nonobstant tous ces reproches, justifiés ou non, le style de l'homme est là : simplicité, humilité et vérité. On se souvient encore de son interview où il s'était refusé de verser dans la démagogie, préférant parler vrai quitte à servir à ses détracteurs des raisons de le critiquer.

Pour elle, le champ de l'action est beaucoup moins aisé à investir. D'abord les préjugés développés dans les salons par ses détracteurs, ensuite les relents négatifs du carcan social institué ces dernières années. Quand elle crée la Fondation Khattou Mint el Boukhari (Fondation KB), c'est une levée de boucliers de toute part. Les uns et les autres refusent d'y voir la volonté d'aider son mari dans l'exercice de sa charge présidentielle. Ce qui, ailleurs, est un acte d'engagement louable, devient vite une ‘hérésie sociale'. Mais pour Mme Khattou Mint el Boukhari, ‘le temps est à l'action, pas aux bavardages', comme on dit dans son entourage. Distributions de vivres dans les quartiers pauvres de Nouakchott. Puis intervention en pleine crise de l'eau avec les navettes des citernes qui ravitaillent la périphérie de la capitale, là où l'eau coûte le plus cher, là où elle manque le plus. C'est la catastrophe de Tintane qui révèle au grand jour la Fondation KB. Puis Kaédi, où la Première dame se rend en personne. Tout en étant aux côtés de son mari dans ses principaux déplacements, Mint el Boukhari prend ses bureaux au siège de la Fondation. Là, elle reçoit continuellement, écoute les plaintes, répond aux doléances, compatit aux douleurs. ‘Une manière pour elle de maintenir le contact avec les populations'. Elle est un peu le bras ‘social' de l'exercice du pouvoir par son mari. Elle se veut, quant à elle, ‘une promesse tenue'. ‘Pendant la campagne beaucoup de promesses ont été faites à des gens qui avaient l'habitude de perdre de vue ceux qui viennent demander leurs voix dès leur élection. Ce ne sera pas le cas avec nous'. Ce qui importe à la Présidente ? ‘Ce sont les pauvres et en quoi la Fondation peut le aider'. C'est seulement ainsi que le volet social du programme du Président Ould Cheikh Abdallahi peut être mis en œuvre. La Fondation est en fait un complément d'action pour le nouveau pouvoir. Une sorte de porte ouverte par la présidence sur le terrain. Une main tendue aux nécessiteux. A l'occasion justement de la fête du Fitr, Mme Khattou Mint el Boukhari a fait le déplacement dans un centre médical de Sebkha. L'occasion de passer à la maternité, compatir aux douleurs des mères et apporter cadeaux et nourritures. L'occasion aussi de faire un geste envers un centre d'accueil des enfants abandonnés qui vivent un drame réel et qui souffrent dans l'indifférence totale. La Fondation KB qui est naissante il est vrai, a bénéficié du mécénat de quelques hommes d'affaires comme Bahaye Ould Ghadde qui a gracieusement fourni des produits alimentaires destinés à combler le déficit alimentaire dans certaines zones sinistrées, Mohamed Ould Bouamatou qui a offert des 4×4 pour acheminer les produits sur place et Ahmed Baba Ould Azizi qui a offert des citernes pour le ravitaillement en eau des zones assoiffées. D'autres donations ont été enregistrées. Une offre qui a permis d'équiper la Fondation et de la lancer sur le terrain de l'action. La Fondation ne compte justement que sur les donations du genre et sur la coopération internationale pour mettre en œuvre son ambitieux programme (voir encadré). En aucun cas elle ne peut donc gêner l'action du gouvernement en la matière. Au contraire, elle ne peut qu'en être l'appui.

C'est sans doute cette sortie de ‘la voie consacrée' depuis trente ans, qui est à l'origine des médisances et autres commentaires qui relèvent plus de la malveillance que de reproches fondés et argumentés. Il faut simplement croire qu'après avoir conquis le pouvoir, le couple présidentiel s'en va à la conquête des cœurs. De ceux qui en ont encore…



MOHAMED FALL ould OUMER

Anonyme a dit…

je voulais seulement protester contre les propos de cette begin qui suffisament nouis a notre pays ,elle n'a cas nous foutre la paix on ne veut pas de sa mediation tout le monde en mauritanie sait par quoi elle est attiree l'argent et les petits voyous genre (mohamed lemine ould dadde)elle devrait avoir honte mais si elle persiste par ses declarations inappropriees je promets de devoiler d'autres secrets de cette begin tres compormetants et a l'union europeenne

Anonyme a dit…

QUE tu PROTESTE OU NON C'EST TON PROBLEME CAR SI TU M'a reconnu je n'es rien à craindre et je te défi moi je dis la vérité quand à toi tu n'es qu'un grand fumier de la junte ce md lemine dont tu parle je ne le connais même pas de nom ni de vue. Quand à vous Dr je vous dis merci pour tout ce que vous faite pour votre patrie et mon grand Salut à vous deich
NEBGHOUHA MOHAMED

Sellami a dit…

Eh Doc de choc!
C'est pas bien de t'attaquer à Moussa, sans attaquer ses amis Ahmed Cheikh du Calame et Oumère de la Tribune. Il est le plus clean de tous les journalistes de la place. Ils ont tous surfé, parfois se sont complètement enfoncés dans des éditoriaux qui disent la chose et son contraire. C'est dur le quotidien à Nouakchott, tu sais, surtout quand, comme Ahmed Cheikh, on commande les portes de sa maison et ses serrures de France, et qu'on construit des villas alors que la seule chose qu'on possède c'est le journal d'un homme qui a donné sa vie pour construire une renommée, une image, une idée: Habib Ould Mahfoudh.
C'est triste de voir son oeuvre prostituée par un imbécile borné comme Ahmed Cheikh, un corrompu notoire devant l'éternel.