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30 janvier 2007

votez blanc

















votez blanc

Je ne voudrai pas faire un cours de linguistique ne de sémantique sur un parler cousu main dans un Discours fleuve comme vache qui pisse. Ce n’est pas parce que Ely ould Mohamed vall a pris le pouvoir par la force, qu’on lui donne une légitimité et un droit sur notre vie politique et l’avenir de notre pays. Le ton et le contenu de son discours sont contestables. Le fait qu’il s’est adressé à des « élus du peuple » en haussant le ton et en tergiversant dans deux langues qu’il maîtrise à peine, pour essayer de manipuler les mauritaniens afin d’asseoir sa suprématie sur notre pays. il veut changer les lois d’un jeu électoral dont il a les clés. Vous êtes d’accord avec moi qu’il Il n’est pas raisonnable de changer les règles de jeux d’un match de football au milieu d’une partie. Ou nous a déjà vendu Ely comme un chantre la démocratie, on nous a gommé du cerveau tout son passé peu glorieux d’homme de la sécurité de l’Etat.
Et maintenant On nous fait un lavage de cerveau par cette lépreuse télévision de Mauritanie ...
nous ne votons pas blanc...que ça plaise ou non à notre bienfaiteur" j'ironise pour le bien non fait"

28 janvier 2007

sebet chertat














c'est ça sebet chertat

Il est difficile de quitter le pouvoir aussi facilement. il n’est pas élegant de modifier les règles du jeu au milieu d'une partiee. Cette histoire des bulletins blancs qui comptent pour le CMJD est une atteinte à la souvrainté de notre pays à la dignité des citoyens. Pauvre mauritanie. La suite dans ma prochaine chronique « C’est ça la Mauritanie » dans le journal le calame

26 janvier 2007

quand un blogueur force mon estime

cette fois ci s'est l'excellent article publié dans le blog MAURITANIA apres accord de l'auteur Mr Diaw Alassane

La rétro de la semaine

La bulle explose
La candidature d’Ely Ould Mohamed Vall était-elle une simple rumeur ou un travail de fond qui n’a pas été couronné ? A qui profitait cette thèse ? Au président du CMJD d’abord qui a eu droit à un sondage à moindre frais. Pouvait-il se rétracter après avoir réitéré à maintes reprises que le pouvoir ne l’intéressait pas ?S’acheminait-on vers un scénario à la Robert Guei, porté au pouvoir par de « jeunes mutins » et dont on connaît la triste fin ? Ou un scénario à la Ali Abdalla Saleh, président du Yémen depuis 28 ans et qui avait annoncé- sans qu’on l’y oblige- ne pas se représenter aux élections présidentielles de 2006 ? Cet événement avait-été qualifié de « première » dans le monde arabe. Inutile de préciser qu’Ali Abdalla Saleh a été réélu à l’issue d’une mascarade électorale qui a eu la bénédiction d’une communauté internationale soucieuse de sa « guerre contre le terrorisme ». Les quelques salafistes arrêtés chez nous, pouvaient-ils légitimer aux yeux de l’opinion internationale un quelconque revirement ? Non. Et comme ce fonds de commerce ne rapportait plus, on pouvait toujours se rabattre sur la mobilisation intérieure. Cette hypothèse a tenu jusqu’à l’explosion de la bulle. Pire, le CMJD s’est toujours enfermé dans son mutisme. Cette rumeur a profité aussi à l’opposition à Sidi Ould Cheikh Abdallah. Elle a eu le mérite, un moment, de déplacer les projecteurs et de ralentir les soutiens factices à ce candidat. Du coté de l’opposition on voulait faire croire que si le CMJD accusé de soutenir ce candidat cherchait une solution de rechange, c’est que ce dernier n’était pas crédible. Imperturbable, Sidi Ould Cheikh Abdallahi, comme Ségolène Royal continuait à écouter… les rumeurs. Ahmed Ould Daddah, toujours complaisant, vient de monter au créneau pour dire que ces spéculations étaient infondées. Une chose est sure, la démission en masse des cadres du RFD à l’EST n’est pas une rumeur. Ould Daddah apprendra-t’il à ses dépens que EHEL ECHARG ne sont pas des « handicapés politiques ». Des cadres qui s’apprêteraient à soutenir Zéine Ould Zeidane ou Sidi Ould Cheikh Abdallahi. Qui règne par la Tribu et la Région périra par la Tribu et la Région. Chez nous, comme au Yémen, la Tribu est plus forte que la Région qui est plus forte que l’Etat.
Zeine Ould Zeidane, le Sawab et Israël
Ce n’est pas une fable de La Fontaine. Le parti qui avait brillé par son absence lors des élections précédentes vient d’apporter son soutien à Zeine Ould Zeidane. Ismaël Ould Amar, l’une des figures de ce parti, est sorti de ses gonds et vient de claquer la porte. Le candidat qui, publiquement avait souhaité maintenir les relations avec Israel vient d’hériter contre toute attente d’un soutien encombrant. Qui parle encore de convictions chez nous ? Peut-être qu’il n’y avait pas assez de places chez les autres. A la loterie des intérêts rien n’est impossible. Pour vous donner une idée de ce rapprochement, c’est un peu comme si le PLEJ et le SAWAB se mariaient.
Sur les starting-blocks
Messaoud Ould Boulkheir, Med Ould Cheikhna , Med Ahmed Ould Baba Ahmed, Isselmou Ould Moustapha, Med Khouna Ould Haidalla ont obtenu leurs récépissés. En attendant, Ils peuvent donc envisager sereinement l’assaut de la Maison Brune. Mais dans cette course d’endurance, ils risquent d’être malgré eux les lièvres de Sidi Ould Cheikh Abdallahi. A moins d’un événement imprévisible et improbable. Saleh Ould Hanena, Chbih Ould Cheikh Melainine se jettent eux aussi dans la course. D’autres s’apprêtent à faire de même. Après tout, l’important c’est de participer.
Les marchés contestables
Cette semaine on apprend les retraits de Aicha et de Abdel Kader Mourad Diène de la course présidentielle. Des retraits programmés avant même l’annonce de leurs candidatures. Il faut dire que la candidature à la présidentielle est un marché contestable comme disent les économistes. C'est-à-dire, pour ceux qui ne savent pas, il n’y a pas de barrières ni à l’entrée ni à la sortie. Les deux candidats invoquent le même motif : l’impasse dans laquelle se trouve le processus démocratique. Oui les deux candidats ne veulent pas servir de lièvres à un scrutin d’ores et déjà contestable mais cette fois au sens courant du terme.Le conseil des MinistresLe conseil des ministres s’est réuni hier. Ceux qui s’attendaient à des nominations sont déçus.Néanmoins on peut se permettre de commenter le commentaire du Ministre de la communication « Le conseil a décidé implicitement de creuser sa balance commerciale avec le Chili ». Pourquoi le Chili ? Ce pays produit les 4/5 de l’iode mondial. Le conseil a adopté un projet de décret visant à ajouter de l’iode au sel. Voilà.
La note optimiste
Maalouma Mint El Meydah, artiste engagée au parler franc a été élue sénatrice. Elle est restée digne malgré la censure dont elle a fait l’objet. Très connue à l’étranger, elle véhicule la face joyeuse de la Mauritanie. Elle a fait plus que tous les diplomates mauritaniens réunis. Dommage qu’elle ne se soit pas portée candidate à la députation. Toutefois, avec elle, la chambre d’enregistrement devra apprendre à « enregistrer » d’autres partitions.
Mr Diaw Alassane

24 janvier 2007

Elle court, elle court, La rumeur

"C’est ça la Mauritanie" Chronique du Dr. kleib Ahmed-Salem dans le journal
Le calame du mercredi 24 janvier 2007

Elle court, elle court, La rumeur
La liberté de pensée est absolue ou elle n'est rien.”
Ferry, Luc

Il n’est pas facile de garder son sang froid dans cette éruption volcanique, et encore il n’est pas aisé d’écouter et de voir ce qui se trame aussi bien en haut qu’en bas et se taire. Je suis sortit de mon silence par la force de médiocrité des candidats à la militaro-présidentielle de 2007 et je ne me tairai que par la volonté des bons citoyens. Il n’est pas dans mes habitudes de m’emporter pour un sujet aussi important soit il. Mais l’heure est grave les minutes s’effritent pendant que l’espoir s’amincit de plus en plus que l’on se rapproche de l’échéance électorale. Elle court, elle court, La rumeur. Cette insolente rumeur sur laquelle je ne m’attarderai pas pour ne pas faire comme cette presse de basse court. Les militaires qui sont au pouvoirs ne sont que les mêmes depuis vingt ans.cette soudaine lumière qui les a transformés en altruistes qui ne veulent que du bien au pays, me laisse perplexe et méfiant. Quand s’etait des vieux opportunistes, des chefs de tribus incultes et frustrés qui s'acoquinent avec des candidats proches des militaires et du pouvoir s’était compréhensible mais, Là ou le bas blesse, s’est de voir des jeunes soit disant intellectuels (encore des étudiants manipulés par des professeurs) suivre un candidat qui n’as ni programme précis, ni chiffres, ni donnés économétriques fiables. Juste des promesses vagues. Des généralités comme celle que l’on donne quand on ne veut pas se mouiller. Voici cette initiative elmoustaghbel si convaincante : que je voudrai décortiquer comme j’avais fait par le passé pour les communiqués des putschistes du 3 août. Ils disent que ce candidat présumé innocent de tout commérage avec la junte au pouvoir jusqu’à preuve du contraire s’engage à :
« trouver des solutions aux problèmes économiques du pays » je pense qu’il va augmenté la croissance, et réduire les dépenses publiques bien sur, les nouveaux défis économiques et financiers mettre de l’ordre dans le secteur bancaire et je ne sais pas toujours comment lui il ne le dit pas et moi je ne lu pas dans tasse de café..

« 1-Renforcer l’unité nationale entre toutes les franges de la société mauritanienne tout en mettant l’intérêt national au dessus de toutes les considérations, » Le seul moyens pour le candidat est d’emprunter le même chemin que ses prédécesseurs en pratiquant la politique de l’autruche.

« 2-construire un Etat de Droit et juste qui bénéficie de l’estime et prône la bonne gouvernance, »
Le CMJD pense qu’il a bâtit un état de droit, donc notre candidat fait allusion à un autre pays voisin, qu’il va envahir au nom de la guerre préventive pour y construire un état de droit.
« 3-Surmonter le chômage des diplômés chômeurs et donner un rôle actif à la frange de la jeunesse car c’est elle qui sera à l’origine des futures générations. »
Soyons sérieux un instant, en Mauritanie Ils n’y a que les chômeurs volontaires où les diplômés incompétents. Et ce n’est pas un candidat qui se définit comme un homme qui n’a pas d’accointances politique, idéologique ou autre, qui changerait des habitudes bien encrées dans une société girouette comme la notre avec une jeunesse oisive.
Voter sans réfléchir, c’est consigné notre pays entre des mains désinvoltes et ravageuses, hypothéquer l’avenir de la vraie jeunesse de demain seule qui va payer les dettes contractées aujourd’hui.

D’un coté ils prétendent que, l’« Initiative des jeunes pour le pays » est une initiative représentative de toutes les franges de la société. Étant jeune moi même et très engagé sans étiquette politique je trouve que cette jeunesse là n’incarne nullement les valeurs auxquels je m’identifie et nombreux sont les jeunes qui ne se font pas d’illusion sur l’avenir de la Mauritanie au main de cette classe politique vieillissante.
Des candidats il y en aura toujours, mais l’homme fédérateur, incarnant un vrai chef d’ETAT ne risque pas d’émerger parmi cette horde de candidat déjà en lice à une exception prés.
Ces élections ne seront que des élections de plus, des dépenses de plus, et les pauvres mauritaniens seront manipulés encore plus.
En témoigne les législatives et municipales où Comme quoi on peut manipuler une élection sans avoir recours, à des stratagèmes de l’ancien système comme faire voter des mort ou des nouveaux-nés ou acheter des cartes d’électeurs.
C’est tout simple, il suffit d’avoir exercer par le passé le métier, de fonction de ministre de l’intérieur, ne riez pas c’est pas facile le métier de ministre de l’intérieur ni au passé simple et ni au présent. Il faut connaître tous les découpages administratifs et en savoir créer au besoin.et être spécialiste de la manipulation.
Il n’y a qu’à voir les différentes commissions de surveillance et de contrôle des élections de la CENI jusqu'à ce machin de la société « si vile ». C’est comme demander aux loups de surveiller la basse-cour.


Dr kleib Ahmed Salem
interne au service de neurochirugie
du Centre Hospitalier SAINTE-ANNE
Paris 75014 FRANCE
tel: 00 33 6 13 14 82 14
http://docteurkleib.blogspot.com/

22 janvier 2007

ENFANTS DU CHOLERA :les délaissés de l'ancien régimes les ignorés de celui d'aujourd'hui

cet article intitulé Un médecin en colère qui a été publié en en octobre 2005 dans le journal le calame je le met en ligne sur la demande d'un visiteur:
«Un ministère qu'on soutient est un ministère qui tombe».
Talleyrand
Décidément, certains médecin-administrateurs sont incorrigibles, voireinconscients. C'est peu dire qu'ils ne rendent pas service à la santé dansnotre pays. En se rendant coupable avec la complicité du ministère de lasanté et de la DRPSS, par leur silence meurtrier. Quoique l'expression«coupable» soit encore un verdict certain, il semble bien que « le scandaledu silence meurtrier »... scandalise assez peu.D'où ces question presque candides : l'opinion publique a-t-elle perçu lescandale?Où se situent les responsabilités? Qui a importé le cholera dans le servicepédiatrie de l'hôpital national ? Autant d'interrogations qui restent sansréponses.Les faits concernent le choléra à Nouakchott, plus précisément l'enceinte del'hôpital national. Où le cholera a été Introduit dans le service depédiatrie.Pendant les premières semaines le danger a plané sur ce service où desenfants malades et fragiles, ont été exposés à cette maladie. Sous d'autrescieux plus cléments plus démocrates, un scandale pareil aurait faits plus debruit et des têtes auraient tombées.Pour que l'on puisse comprendre ce scandale, on doit rappeler les faits rienque les faits. Tout a commencé une semaine avant le coup d'état, lorsque lesurgences ont été submergées par des diarrhéiques et des vomisseurs plus de170 cas :C'est le fameux week-end diarrhéique, qui a provoqué la fermeture desurgences pour désinfection.Les cas suspectés, ont été des cas de cholera, même s'ils portentofficiellement le nom de diarrhée aigue, j'ignore selon quel consensusmédical!Quiconque a lu au fil des mois au moins quelques pages consacrées à ces «diarrhée aigue » par les journaux s'étonnera si souvent par l'absence du mot« cholera » dans un tel contexte. Ce silence est doublement inquiétant : ilmanifeste le mépris à l'égard des citoyens par l'Etat, et démontre que nosdirigeants savent trop peu sur la santé pour en connaître la fragilité.Ainsi ce silence et ces diarrhées sont à l'origine d'une épidémie, quel'état tente tant bien que mal à cacher au peuple. Voila le mot est lâché,il y a bien le cholera à Nouakchott : parce que j'ai été impliqué dans lapremière et dérisoire ligne de prise en charge de l'hôpital, où j'ai vu desenfants mourir de déshydratation sévère, des beaux et mignons visagesabattus, cachectiques, qui me regardaient en me suppliant de ne pas lesabandonner. Je lisais dans leurs yeux innocents, cette interrogationpourquoi nous?Ces enfants dont le seul crime est d'être issus de milieu défavorisé- lesdélaissés de l'ancien régimes les ignorés de celui d'aujourd'hui- Pireencore j'ai vu des médecins responsables de la gestion du cholera, fuir enabandonnant un enfant de trois ans agonisant aux mains des infirmiers peuexpérimentés et le ministre se boucher le nez en visitant des malades. Lapreuve que il n'a rien compris au cholera et à sa transmission qui résultede l'absorption par la bouche d'eau ou d'aliments contaminés, je dis bienpar la bouche.J'ai aussi vu, (et mis moi-même) des malades dans des conditions inhumaines,et humiliantes, dans l'unique ambulance qui assurait les va et vient entrel'hôpital et le lazaret et je tiens à demander aux patients et à leursfamilles de m'excuser cette conduite indigne...Pour résumer de façon synthétique, les enjeux de cette grosse bourde : C'estune stratégie destinée à soutirer de l'argent à l'état comme par le passé.Pourtant l'arrivé du cholera a été ressentie au début comme une aubaine pourcet hôpital qui a souffert de la gestion de l'ancien directeur (parti leschevilles solides à la CAMEC) d'une part, et une providence pour l'actuelledirection qui multiplie les réunions stériles, pour se mêler les pinceauxencore. Certains de ses membres veulent s'illustrer et quelque soit le prix(macabre), en s'octroyant le titre de responsable de la gestion du cholera!C'est par devoir de médecin que je tiens à rapporter brièvement au ministreet aux citoyens quelques éclaircissements sur le cholera à travers cettedéfinition de l'OMS : Le vibrion cholérique est une bactérie très mobile,aux exigences nutritionnelles modestes, dont l'homme est le principalréservoir. La maladie résulte de l'absorption par la bouche d'eau oud'aliments contaminés. Une fois dans l'intestin, les vibrions sécrètent latoxine cholérique, responsable de déshydratation qui caractérise l'infection: les pertes d'eau peuvent atteindre 15 litres par jour. Les sellesdiarrhéiques libérées en grande quantité sont responsables de la propagationdes bacilles dans l'environnement et de la transmission oro-fécale.Les principaux facteurs favorisants la transmission de l'infection sont leniveau socio-économique et les conditions de vies des populations. Lesfortes concentrations de population associées à une hygiène défectueusejouent un rôle important dans l'apparition et le développement d'uneépidémie de choléra : L'incubation - de quelques heures à quelques jours -est suivie de violentes diarrhées et de vomissements, sans fièvre. Enl'absence de traitement, la mort survient en 1 à 3 jours, par collapsuscardio-vasculaire dans 25 à 50% des cas. La mortalité est plus élevée chezles enfants, les personnes âgées et chez les individus fragilisés.Le traitement consiste essentiellement à compenser les pertes digestivesd'eau et d'électrolytes. La réhydratation est assurée par voie orale ou parvoie intraveineuse, selon le degré de déshydratation. L'amélioration estperceptible au bout de quelques heures et la guérison, sans séquelle, estobtenue en quelques jours.L'antibiothérapie peut être utile dans les cas graves, mais l'émergence desouches de vibrions cholériques multirésistantes aux antibiotiques en limitede plus en plus l'indication.Les mesures d'hygiène générale sont essentielles dans la lutte contre lecholéra, impliquant une véritable mobilisation sanitaire en cas d'épidémie,et un développement de l'éducation sanitaire. Ces mêmes mesures que l'étatpouvait dispenser à travers ces medias. Il s'agit d'un simple devoird'information qui doit être imposé à nos dirigeants.En fin je tien a saluer MSF et medico del mondo et les huit médecinsmauritaniens du lazaret d'Elmina, pour leur courage, eux, qui ont affrontéle cholera de face. Sans rien attendre en retour. Pendant que d'autresjouent aux chiffres et lettres.Et ne pas oublier qu'au titre du délit de mise en danger d'autrui, ilfaudrait une enquête pour situer les responsabilités et arrêter le massacre.Car en ce moment, on parle d'autres foyers à l'intérieur du pays, quirisquent de faire plus de morts si….
Dr. KLEIB Ahmed Salem

21 janvier 2007

Elle court, elle court, La rumeur

La liberté de pensée est absolue ou elle n'est rien.”Ferry, Luc (1951- )

Il n’est pas facile de garder son sang froid dans cette éruption volcanique, et encore il n’est pas aisé d’écouter et de voir ce qui se trame aussi bien en haut qu’en bas et se taire. Je suis sortit de mon silence par la force de médiocrité des candidats à la militaro-présidentielle de 2007 et je ne me tairai que par la volonté des bons citoyens. Il n’est pas dans mes habitudes de m’emporter pour un sujet aussi important soit il. Mais l’heure est grave les minutes s’effritent pendant que l’espoir s’amincit de plus en plus que l’on se rapproche de l’échéance électorale. Elle court, elle court, La rumeur. Cette insolente rumeur sur laquelle je ne m’attarderai pas pour ne pas faire comme cette presse de basse court...............
PS:vous pouvez lire la suite de l'article dans ma chronique dans le journal le calame prochain et sur ce blog à partir du mercredi prochain