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24 avril 2007


Un gouvernement sous couveuse
Depuis la nomination de Zeine Ould Zeidane au poste de PM on attend fermement de voir la composition du nouveau gouvernement. Ce retard s’explique en partie par le blocage exercé par les indépendants qui veulent priver Messaoud Ould Boulkheir du perchoir. Chantage en règle pour obtenir plus de portefeuilles dans le nouveau gouvernement. Les critères très sévères mais au demeurant indispensables d’intégrité, de compétence et surtout de virginité politique (du moins pour la dernière décennie) fixés par le nouveau président sont en passe de briser bien des illusions. A l’épreuve du changement, la marge de manœuvre des indépendants et de tous les emblèmes de l’ancien pouvoir se réduit chaque jour comme peau de chagrin. Après, on est en démocratie. Ils sont libres de porter à la présidence du parlement l’homme ou la femme de leur choix. Mais ils n’iront pas aussi loin. Ils se rangeront toujours du coté du président. C’est un vieux reflexe de survie. Pour nous autres citoyens ce serait une aubaine que le courant ne passe plus entre le président et ce groupe de parlementaires qui d’ailleurs ne fera pas bloc pour longtemps. Le président négocie pour respecter ses engagements vis-à-vis de ceux qui l’ont soutenu entre les deux tours. Pendant ce temps le gouvernement en gestation est maintenu sous couveuse. Pour le moment on n’ose pas trop imaginer son visage. Aurons-nous vraiment droit à un gouvernement de changement et d’action que nous appelons de tous nos vœux ou à un gouvernement qui donne la chair de poule à tous ceux qui avaient cru au changement ? Nous ne voulons pas que la République récompense ceux qui ont fait sa sinistre réputation et qu’elle leur dise « Volez, pillez, gaspillez, corrompez! Servez-vous à souhait, vous l'avez mérité. Reprenez vos forfaits de plus belle, c'est votre revanche sur cette pseudo-morale qui vous a éloigné dix-neuf mois durant. Jurez qu'on ne vous y reprendra plus. Nul ne pourra plus vous inquiéter, " le président qui rassure" veille sur vous ». Nous ne voulons pas que le putsch du 3 août 2005 ait été tout simplement un de plus et que comme les autres, il ne serve à rien. Nous ne voulons pas que ce pays soit dans une situation d'impasse thérapeutique. Il est temps d’évoluer.
DAB

22 avril 2007

Sarkozy et Royal, finalement


PARIS (Reuters) - L'ancien ministre RPR Jacques Toubon prédit que la bataille du second tour entre le candidat UMP NICOLAS SARKOZY et la socialiste Ségolène Royal sera très serrée.
"On a un combat très clair pour le deuxième tour. Notre candidat a fait ce qui est normal. Il doit maintenant naturellement appeler à un rassemblement très large", a-t-il dit à la presse au QG de campagne de l'UMP.
"La bataille du second tour s'annonce très difficile et très serrée", a-t-il ajouté.

21 avril 2007

Zein OulD Zeidane


Mauritanie - Politique
Nomination du Premier ministre
Nouakchott, 20 avr (AMI)- La Présidence de la République communique : Par décret en date de ce jour est nommé Premier ministre : Monsieur Zein OulD Zeidane
AMI

12 avril 2007

Qui se cache derrière CRIDEM

Mr Claude K nous a quittés un vendredi 26 septembre 2014 et nous le regrettons. Nous reproduisons sa première interview accordée à un journal mauritanien le calame réalisée par Dr kleib . Et le Making-of de cette interview. Un jour pendant que j’étais interne dans un hôpital parisien (Hopital saint-anne) je reçois un appel téléphonique : je suis Claude K webmaster de cridem. Je vous appelle docteur pour m’excuser de ne pas pouvoir publier votre papier vu le nombre de propositions que je reçois par jour. Je lui ai répondu qu’au début de son aventure cridemienne il mettait mes publications en ligne sans me demander mon avis dés qu’elles apparaissaient sur le site Mauritanienet ou sur le site du journal lecalame.info et voilà qu’au aujourd’hui il refuse de mettre en ligne mes articles, je trouve ça indécent. Il m’a expliqué les contraintes techniques qu’il rencontrait et le cout financier pour maintenir en vie ce site sous perfusion et les sacrifices qu’il consentait tant sur le plan professionnel que familial . C’était formidable. Il croyait fermement à son projet. Quant à moi avant ce coup de fil, J’ai toujours pensé que le site cridem était géré par des mauritaniens de la diaspora comme se fut le cas pour Mauritanienet, FAAS, etc… Dés que j’ai su que c’était un étranger qui administrait le site le plus visité par la communauté francophone mauritanienne, j’ai demandé à mon ami Ahmed ould cheikh directeur du journal le calame si ça l’intéressai une interview de claude K. Comme c’est un bon journaliste avisé, il a fleuré le scoop. Il a évidement accepté. Je ai rappelé Claude K le jour suivant et on s’est donné rendez vous au bistrot du coin de la rue saint jaque dans le 14 éme arrondissement de paris autour d’un café. Il était 14 heures. Il est arrivé à l’heure. Il avait une barbe blanche et il fumait cigarettes sur cigarettes. Il a accepté que l’interview soit enregistrée. …..la suite bientôt




12 avril 2007 :
Interview exclusive au journal Le Calame de l'administrateur du site CRIDEM
Nous avons tenté de percer un des mystères du net, celui de découvrir qui se cache derrière CRIDEM, ce site qui est devenu incontournable en Mauritanie depuis sa création en février 2004, et dont le webmaster est connu sous le pseudo de Claude K. Le Calame l’a rencontré à Paris et il s’est volontiers prêté au jeu des questions réponses.

Le Calame : Pourriez-vous vous présenter aux lecteurs de notre journal?
Je suis Claude K., né en France en 1953, Strasbourg, Alsacien résident à Paris. Mon père est originaire du Maghreb. Ma mère est originaire d’Allemagne et ma femme est d’origine turque. Mon père était un ancien militaire. Il a souhaité que je fasse l’école militaire. À 13 ans, j’ai passé le concours et j’ai été reçu en 1966 à l’école militaire du Mans. C’est là que j’ai rencontré des élèves mauritaniens, entre autres Ely O. Mohamed Vall, Moustapha Diop, Dahane O. Ahmed Mahmoud… et d’autres dont je n’ai plus les noms en mémoire.
Le Calame :Une relation d’amitié est née alors?
Claude K : Les Mauritaniens n’avaient des vacances qu’une fois par an, alors que nous français, avions les vacances de Noël, Pâques et les grandes vacances d’été. Comme Moustapha Diop m’était le plus proche, je l’ai invité pour passer les fêtes de noël 1967 dans ma famille à Strasbourg et ce jour-là est née une véritable fraternité.
Le Calame : Ensuite?Claude K : J’ai quitté l’école militaire en 1970 pour retourner dans la vie civile, alors qu’eux ont poursuivi une carrière militaire; ensuite ils sont rentrés dans leur pays où ils ont continué leur chemin et on s’est perdu de vue. J’ai été salarié pendant 20 ans comme responsable de catalogue de vente par correspondance et je me suis mis à mon compte en 1995 en tant que consultant en marketing et webmastering.
Le Calame : Comment vous vous êtes retrouvés de nouveau, Moustapha Diop et vous?
Claude K : À la fin de l’année 2003, je reçois un mail de Moustapha Diop où il me dit être arrivé en France. Je l’appelle dans la foulée et une heure plus tard, nous nous retrouvons. Moment d’émotion intense, vous l’imaginez bien. Là, nous échangeâmes longuement sur nos différents parcours et je compris ses déconvenues. Et plus que lui encore, comme il aime à le répéter, les malheurs dans lesquels était imprégné son pays. J’ai découvert alors que ce pays était dirigé par un dictateur et que les atteintes aux droits de l'homme étaient courantes. Il était très ému, car pour la première fois, il quittait son pays en laissant tout derrière lui, comme l’avaient fait d’autres, bien avant.
Le Calame : Quelle a été votre réaction?Claude K : Je lui ai demandé comment je pouvais lui donner un coup de main pour dénoncer ce régime et l’appuyer dans un combat qu’il était déterminé à poursuivre. On a convenu que le moyen le plus simple et le plus rapide était de faire d’abord un site Internet. Nous avons fait une recherche sur les sites existants à l’époque et traitant de la Mauritanie.
Le Calame : Comment avez-vous trouvé ces lieux?Claude K : Nous avons été marqués par le dialogue sur ces forums. Tenant compte de ces éléments, je lui ai proposé de créer un véritable site où nous mettrions l'information, donnerions la parole dans un premier temps aux mouvements de l’opposition, à la société civile, aux médias officiels et privés, à la FIDH, à SOS Esclaves, etc. et donner la parole aussi à ceux qui veulent exprimer une opinion personnelle.
Le Calame : Aviez-vous fixé une ligne de conduite?
Claude K : Nous nous sommes fixé des règles strictes, pas de vengeance, pas d'insultes, pas de propos diffamatoires, ni sous la ceinture… .
Le Calame : Le début du site?
Claude K : Alors que je ne suis pas informaticien et n’avais par conséquent aucune notion de programmation, j’ai pu réunir tout ce qu’il fallait pour mettre en place un site test et commencer mes premières mises en ligne. Cette recherche de publications a été plus tard la base de mon travail quotidien. Un ami nous a aidés en hébergeant le site. J'ai mis en ligne, courant février 2004, un certain nombre d'articles (une vingtaine) tirés de différentes sources sur la toile qui correspondaient à la ligne de conduite politique que l'on s'était fixé, Moustapha Diop et moi. Lui n’y connaissait rien non plus à l’informatique. Il m’a donné carte blanche, car nous convergions et continuons totalement à confluer sur les idées.
Le Calame : Pourquoi le choix du nom CRIDEM?Claude K : C’est Moustapha Diop qui a trouvé le nom Convergence Républicaine pour l'Instauration de la Démocratie en Mauritanie, qui doit être une plate forme de rassemblement pour tous les Mauritaniens, où ils se retrouveraient, où ils auraient la parole. On a défini une philosophie, une ligne éditoriale qui est aujourd’hui la même malgré l’évolution qui a eu lieu en Mauritanie.
Le Calame : Comment arrivez-vous à faire le choix des sujets que vous mettez en ligne?Claude K : Nous essayons toujours de rester dans la ligne de ce que l'on s'est fixé à l'origine, celle d’offrir la parole à tout le monde en respectant certaines règles. Chaque jour, il faut faire une recherche sur tous les sites qui traitent de la Mauritanie. Je visite différents sites de la Mauritanie, du Sénégal, les dépêches des agences de presse, tout ce qui est francophone. Si le sujet me semble pertinent et apporter quelque chose au débat, je le sélectionne et le publie.
Le Calame : Êtes-vous influencé dans votre choix?Claude K : N’étant pas originaire du pays et ne connaissant quasiment personne, il ne peut y avoir la moindre influence de qui que ce soit sur moi. Il en est de même avec Moustapha Diop, administrateur du site, avec lequel je me concerte tous les jours. Mais j’avoue que très souvent, le dernier mot me revient dans le partage des rôles que nous nous sommes faits.
Le Calame : Est-ce que vous savez que le site CRIDEM est devenu une référence en Mauritanie?
Claude K : Au démarrage en 2004, le site faisait quelques dizaines de visites par jour. Puis le nombre est monté à une centaine et a continué à progresser au fil des mois. Au mois de mars 2007, le nombre de visites était supérieur à 170.000. Avec une moyenne de 5.000 visites par jour, il est devenu l’un des sites les plus visités, puisqu’il est classé rang 4 sur Google RANK et notre classement sur Alexa est en progression constante. Samedi 7 avril par exemple, Cridem était classé 72.000ème au rang mondial de la toile. Ces chiffres parlent d’eux-mêmes.
Le Calame : Qu'est ce que ca vous fait à titre personnel?Claude K : On ne va pas jouer au faux modeste, il y a une satisfaction personnelle évidente. Lorsque l’on s’investit quotidiennement comme je le fais depuis plus de trois ans, et que le but recherché est presqu’atteint, que Cridem a pu permettre à des gens de différentes convictions de se retrouver et d’échanger des opinions dans la courtoisie et le respect mutuel, on ne peut que s’en réjouir. Si Cridem a pu participer un tant soit peu pour faire avancer les choses en Mauritanie, je considère que le but est atteint.
Le Calame : Vous n’êtes pas mauritanien et vous militez pour une autre Mauritanie, pourquoi?Claude K : L’esclavage, le racisme, la torture, la dictature… où qu'ils soient, doivent être dénoncés. Il ne faut pas perdre de vue que le site à été créé à l'origine pour dénoncer cela. Donc, on ne peut pas, que l'on soit anglais, français ou allemand, être étranger à un problème qui touche aux droits humains. Fort heureusement, depuis le putsch de 2005, il y a eu des avancées positives, il faut le reconnaitre. Il reste malgré tout beaucoup de choses encore à faire, l’ouvrage devant sans cesse être amélioré. Des efforts devraient être consentis pour l’éradication de l’esclavage, une cohabitation harmonieuse et le règlement du passif humanitaire.
Le Calame : Si vous avez un message personnel à adresser à votre ancien ami Ely, ce serait quoi?
Claude K : Là, vous me posez une question qui touche à mes sentiments personnels. Ely, qu’est-ce que je pourrai lui dire? À l'époque où je l'ai connu, c'était un garçon timide et discret. Cela a été le cas, je pense, durant les 20 ans où il a été directeur de la sûreté nationale. Il n’est venu sur le devant de la scène qu’en août 2005. Je suis convaincu qu’il a ouvert une porte qui peut mener vers une véritable démocratie, vers un État de droit. Cette porte, il faut maintenant la franchir. C’est aux acteurs politiques et au peuple mauritanien de saisir cette grande chance pour continuer dans cette voie. Il a permis à la Mauritanie d'aller vers une voie consensuelle qui est meilleure, je l'espère. Maintenant, il faut voir comment les choses vont évoluer. Je ne dirai pas que LES conditions sont là pour aller vers la démocratie, mais DES conditions sont maintenant réunies pour évoluer à un autre stade de réconciliation.
Le Calame : Comment avez- vous trouvé les dernières élections mauritaniennes?
Claude K : Pour un étranger, suivre les élections comme cela s'est passé en Mauritanie, c'est un peu étrange. C'est un monde obscur. J’ai été très surpris de lire par ci et par là, et je l'ai publié sur Cridem, la tribu «X» a rallié Daddah, celle d’«Y» Sidi, et la fluidité des militants, chose impensable en France. C’est comme si on disait que la tribu du maire de Tours a rallié Sarkozy ou Fabius a rallié le Pen. Ce sont des choses qui me surprennent et que j'ai du mal à comprendre et à concevoir. Mais j’apprends…
Le Calame : Est-ce qu’on vous a reproché de favoriser un candidat?Claude K : La position de Cridem a toujours été la même: offrir la parole à tous les candidats. Cridem a été, hormis le site de l’AMI, le seul site à publier quotidiennement des informations sur les 19 candidats a l'élection présidentielle.
Le Calame : Vous avez eu un différend avec RFD info?Claude K : Lorsque le site RFD INFO a été crée, j'ai immédiatement mis en ligne l'annonce de sa création et j'ai publié les premiers articles qui émanaient de RFD Info, jusqu'au jour où cet organe m'a soumis un article que j'ai validé en mentionnant la source «RFD info». Dans l’heure qui a suivi, l’origine de cette publication a été démentie par RFD Info. Aussitôt, j'ai décidé de bloquer la source en question. Mais par contre, j'ai continué à publier les dépêches et articles de presse sur le candidat du RFD. Cette situation a créé un certain déséquilibre en faveur de Sidioca, c’est incontestable. Je regrette profondément une telle attitude, d’autant plus que ce même communiqué a été publié par RFD Info sur l’ensemble des forums mauritaniens dès le lendemain. Je ne comprends toujours pas une telle attitude…
Le Calame : Quelle est votre source de financement?
Claude K : Le site est entièrement financé par mes soins et vu que le nombre de visiteurs a augmenté de façon considérable, il a fallu que je passe d’un serveur mutualisé à un serveur dédié. J’ai dépensé, de mes fonds propres, plusieurs milliers d'euro pour poursuivre cette aventure. À ce jour, aucune pression n’a eu d’effet sur nous. Nous ne sommes pas à l’abri d’erreur d’édition et il y en a surement eu, mais elles sont bien involontaires. Jusqu’à ce jour, il n’y a pas eu de publicité sur le site; s’il devait y en avoir, ce que nous souhaitons dorénavant, cela n’altèrera en rien notre indépendance absolue et notre ligne éditoriale
Le Calame : Avez-vous visité la Mauritanie?
Claude K : Je n’ai jamais mis les pieds en Mauritanie. C’est pour cela que je pense pouvoir offrir une certaine objectivité et neutralité. Je ne suis influencé ni par un parti, ni par un homme politique, ni par un chef de tribu, ni par un militaire, ni par qui que ce soit. L’idée que je me fais de la Mauritanie, je me la fais à travers la presse et les débats contradictoires avec certains amis de divers horizons.
Le Calame : Comment voyez-vous l’avenir de la Mauritanie?
Claude K : J'ai l'impression qu'on va vers la bonne direction, même si il y a encore beaucoup de travail. À mon sens, il faudrait un certain renouvellement de la classe politique. Une nouvelle génération de politiciens devrait émerger, qui s’imprègne du passé pour regarder vers l’avenir.
Le Calame : Le site doit vous prendre assez de votre temps
Claude K : Cela fait trois ans et demi que je consacre à ce site plus de 12 heures par jour. Ce qui a une incidence sur ma vie familiale et professionnelle, à tel point qu’au lendemain du coup d’état du 3 août, j’avais suggéré d’arrêter le site pour reprendre une vie normale. Après débat avec Moustapha Diop, nous avons décidé de continuer encore. Et je ne le regrette pas.
Le Calame : Quelle serait la prochaine étape de votre combat?Claude K : Mon rêve serait de pouvoir traduire le site en arabe et dans diverses langues nationales comme le pular, le wolof, le soninké…, pour le rendre accessible à plus de mauritaniens. Et aussi, visiter la Mauritanie.
Le Calame : Avez-vous une histoire qui vous a marqué?
Claude K : C’est l’histoire cette petite fille de 12 ans qui a écrit dans le livre d'or du site: «je suis très très heureuse avant tout de me présenter au peuple Mauritanien car je suis une Mauritanienne d'origine née en France. J ai 12ans et je suis très contente de savoir par votre web qu’il y a la démocratie dans mon pays et je vous souhaite bonne continuation». C’est impressionnant, la convergence des générations sur le site, des vieux politiciens aux jeunes de 12 à 13 ans.
Propos recueillis à PARIS par Dr Kleib
pour le journal : Le Calame (Mauritanie)
source cridem via journal lecalame