A l’homme qui murmurait à l’oreille de Mamadou Tandja
29-11-2007 journal lecalame
Notre pays regorge de contradictions. On se contredit dans nos convictions religieuses, dans nos habitudes alimentaires, dans notre comportement de tous les jours, et dans nos engagements politiques. Comment voulons-nous qu’un homme, venu de nulle part, puisse redresser un pays sur une pente vertigineuse et dirigée par des militaires ignares et corrompus, depuis 1978. Un homme qui murmurait dans les oreilles du président du Niger. Le président Mamadou Tandja n’est pas un chantre de la démocratie et son pays n’est pas un modèle de développement économique. Nous avons assisté ces derniers jours, impuissants, à une montée de la violence. La rue mauritanienne s’est soulevée subitement, prenant de court les partis politiques et le bouledogue du pouvoir, ‘’la société civile’’. Le citoyen mauritanien, par nature fataliste et docile, s’est transformé en brave petit palestinien armé de sa pierre et de sa conviction. S’il est sorti dans la rue, c’est qu’il y a quelque chose qui ne va plus. Quelque chose qui a perturbé cet équilibre précaire. Une semaine avant le soulèvement du novembre 2007, j’avais écrit sous le titre Faites vos jeux, rien ne va plus dans les colonnes du journal le calame la mise en garde suivante :«la politique de ce gouvernement a créé et renforcé une certaine polarisation des relations: d’un côté, une pauvre population d’exclus, vivier électoral, et de l’autre, une classe hautement privilégiée qui a concentré les richesses et qui continue à influencer notre vie politique en achetant la première; ce qui risque dans les jours à venir de se solder par un mécontentement social comme ce fut le cas par le passé dans d’autres pays voisins.
Il n’est pas impossible de voir dans l’avenir comme dans toutes les néo démocraties qui piétinent comme nouveau signe de mécontentement, les occupations pacifiques des mairies, et d’autres édifices publics, des hôtels, des aéroports et la désobéissance civile comme ultime appel au secours pour sauver notre pays et les générations futures». Une règle élémentaire en politique qui s’enseigne dans tous les amphithéâtres de sciences PO ;
Un gouvernement, qui n’écoute pas le peuple, est un gouvernement sourd. Un gouvernement dont la politique est catastrophique doit démissionner. Il n’y a pas de mal à avoir assez d’humilité pour reconnaitre son échec et l’assumer. Quant à moi, je pense qui si quelqu’un doit sauter comme un fusible pour calmer la rue ne peut être que le colonel omniprésent Ould Abdelaziz. Dont l’ingérence à tort ou à raison dans les décisions de ce gouvernement ne laisse aucun doute. Ou à la rigueur la démission collective de tout le gouvernement. A défaut de pain, les mauritaniens auraient enfin la conviction qu’il y a un gouvernement sensible à leurs doléances. Il faut en finir avec la médiocrité. Il faut arrêter avec l’impunité. La recherche des bons résultats doit être un objectif et un but collectifs. Il ne s’agit pas de gouverner pour gouverner, ni pour gérer les affaires courantes. Ce gouvernement n’est pas de transition et le peuple demande des résultats. Une politique sociale équitable. Une reforme qui ne privilégie pas des individualités mais une large marge de la société.
Les mesures trompe-l’œil prises au lendemain du soulèvement populaire ne sont pas la solution à ce cri de détresse de la population.
Les enfants des écoles primaires et du secondaire ont ouvert le bal de la contestation, larguant les foyers des réflexions et de contestations historiques à savoir les étudiants d’universités au rang de timides. Nous assistons à un nouveau genre d’expression innocent et honnête. Indexer cette fausse opposition comme responsable, c’est comme traiter Messaoud de libérateur des esclaves ou d’un ami qui nous veut du bien. Pauvre Mauritanie!!
Ajouter à cela cette idée farfelue, un conseil des ministres forains à Nouadhibou. Voilà le comble de l’hypocrisie. Dont le clou du spectacle fut une dépense faramineuse pour un budget déjà déficitaire. Si ce voyage était pour nous convaincre de vendre la SNIM parce qu’elle n’est pas ou n’est plus rentable, pourquoi ne pas vendre le président, dont la DLC, durée limite de consommation, est dépassée et la rentabilité mise en doute? Pourquoi ne pas vendre notre calculatrice de premier ministre dont la rentabilité ne laisse aucun doute? Si c’est pour écouter le peuple et en être proche, la réponse de la rue est aussi éloquente que les discours incohérents du gouvernement et de la présidence. Pire encore, il y a quelques semaines, le président était à Paris à la tête d’une délégation et d’une suite de 45 personnes environ. Il est venu écouter, nous dit-on, les mauritaniens soit disant de l’étranger. Et alors? Il ne s’agit pas d’écouter. Il n’est ni un curé dans une église épiscopale ni un psychologue. Nous l’avons élu pour agir, pas pour uniquement écouter, pour diriger pas pour recevoir des ordres militaires. La situation ne pouvait que dégénérer. Et il est le seul qui semble avoir été pris de court!
Derrière ces appels au secours et ces enfants qui défilent et qu’on bouscule, se cache un réel mécontentement populaire qui va bien au-delà de la problématique des hausses des prix: chômage, rêve de pétrole évanoui, pouvoir d'achat, croissance inférieure aux prévisions, et la déception de tous ceux qui ont voté pour ce président venu de nulle part.
Si en plus d’un parlement sans pouvoir, on aurait un parti Etat sans programme et sans leader charismatique et fédérateur, nous aurons chassé un dictateur, qui avait peur d’être renversé chaque jour que le soleil se lève, pour le remplacer par un dictateur issu des urnes qui n’a peur que d’un soulèvement populaire.
Rémy Kleib (Dr kleib ahmed salem)
Extrait du journal le calame ce mercredi 29 novembre 2007
29-11-2007 journal lecalame
Notre pays regorge de contradictions. On se contredit dans nos convictions religieuses, dans nos habitudes alimentaires, dans notre comportement de tous les jours, et dans nos engagements politiques. Comment voulons-nous qu’un homme, venu de nulle part, puisse redresser un pays sur une pente vertigineuse et dirigée par des militaires ignares et corrompus, depuis 1978. Un homme qui murmurait dans les oreilles du président du Niger. Le président Mamadou Tandja n’est pas un chantre de la démocratie et son pays n’est pas un modèle de développement économique. Nous avons assisté ces derniers jours, impuissants, à une montée de la violence. La rue mauritanienne s’est soulevée subitement, prenant de court les partis politiques et le bouledogue du pouvoir, ‘’la société civile’’. Le citoyen mauritanien, par nature fataliste et docile, s’est transformé en brave petit palestinien armé de sa pierre et de sa conviction. S’il est sorti dans la rue, c’est qu’il y a quelque chose qui ne va plus. Quelque chose qui a perturbé cet équilibre précaire. Une semaine avant le soulèvement du novembre 2007, j’avais écrit sous le titre Faites vos jeux, rien ne va plus dans les colonnes du journal le calame la mise en garde suivante :«la politique de ce gouvernement a créé et renforcé une certaine polarisation des relations: d’un côté, une pauvre population d’exclus, vivier électoral, et de l’autre, une classe hautement privilégiée qui a concentré les richesses et qui continue à influencer notre vie politique en achetant la première; ce qui risque dans les jours à venir de se solder par un mécontentement social comme ce fut le cas par le passé dans d’autres pays voisins.
Il n’est pas impossible de voir dans l’avenir comme dans toutes les néo démocraties qui piétinent comme nouveau signe de mécontentement, les occupations pacifiques des mairies, et d’autres édifices publics, des hôtels, des aéroports et la désobéissance civile comme ultime appel au secours pour sauver notre pays et les générations futures». Une règle élémentaire en politique qui s’enseigne dans tous les amphithéâtres de sciences PO ;
Un gouvernement, qui n’écoute pas le peuple, est un gouvernement sourd. Un gouvernement dont la politique est catastrophique doit démissionner. Il n’y a pas de mal à avoir assez d’humilité pour reconnaitre son échec et l’assumer. Quant à moi, je pense qui si quelqu’un doit sauter comme un fusible pour calmer la rue ne peut être que le colonel omniprésent Ould Abdelaziz. Dont l’ingérence à tort ou à raison dans les décisions de ce gouvernement ne laisse aucun doute. Ou à la rigueur la démission collective de tout le gouvernement. A défaut de pain, les mauritaniens auraient enfin la conviction qu’il y a un gouvernement sensible à leurs doléances. Il faut en finir avec la médiocrité. Il faut arrêter avec l’impunité. La recherche des bons résultats doit être un objectif et un but collectifs. Il ne s’agit pas de gouverner pour gouverner, ni pour gérer les affaires courantes. Ce gouvernement n’est pas de transition et le peuple demande des résultats. Une politique sociale équitable. Une reforme qui ne privilégie pas des individualités mais une large marge de la société.
Les mesures trompe-l’œil prises au lendemain du soulèvement populaire ne sont pas la solution à ce cri de détresse de la population.
Les enfants des écoles primaires et du secondaire ont ouvert le bal de la contestation, larguant les foyers des réflexions et de contestations historiques à savoir les étudiants d’universités au rang de timides. Nous assistons à un nouveau genre d’expression innocent et honnête. Indexer cette fausse opposition comme responsable, c’est comme traiter Messaoud de libérateur des esclaves ou d’un ami qui nous veut du bien. Pauvre Mauritanie!!
Ajouter à cela cette idée farfelue, un conseil des ministres forains à Nouadhibou. Voilà le comble de l’hypocrisie. Dont le clou du spectacle fut une dépense faramineuse pour un budget déjà déficitaire. Si ce voyage était pour nous convaincre de vendre la SNIM parce qu’elle n’est pas ou n’est plus rentable, pourquoi ne pas vendre le président, dont la DLC, durée limite de consommation, est dépassée et la rentabilité mise en doute? Pourquoi ne pas vendre notre calculatrice de premier ministre dont la rentabilité ne laisse aucun doute? Si c’est pour écouter le peuple et en être proche, la réponse de la rue est aussi éloquente que les discours incohérents du gouvernement et de la présidence. Pire encore, il y a quelques semaines, le président était à Paris à la tête d’une délégation et d’une suite de 45 personnes environ. Il est venu écouter, nous dit-on, les mauritaniens soit disant de l’étranger. Et alors? Il ne s’agit pas d’écouter. Il n’est ni un curé dans une église épiscopale ni un psychologue. Nous l’avons élu pour agir, pas pour uniquement écouter, pour diriger pas pour recevoir des ordres militaires. La situation ne pouvait que dégénérer. Et il est le seul qui semble avoir été pris de court!
Derrière ces appels au secours et ces enfants qui défilent et qu’on bouscule, se cache un réel mécontentement populaire qui va bien au-delà de la problématique des hausses des prix: chômage, rêve de pétrole évanoui, pouvoir d'achat, croissance inférieure aux prévisions, et la déception de tous ceux qui ont voté pour ce président venu de nulle part.
Si en plus d’un parlement sans pouvoir, on aurait un parti Etat sans programme et sans leader charismatique et fédérateur, nous aurons chassé un dictateur, qui avait peur d’être renversé chaque jour que le soleil se lève, pour le remplacer par un dictateur issu des urnes qui n’a peur que d’un soulèvement populaire.
Rémy Kleib (Dr kleib ahmed salem)
Extrait du journal le calame ce mercredi 29 novembre 2007
11 commentaires:
salut doc,qu'en dites vous de l'appel à la grève(préavis déja deposé pour le 3/12/2007)lancé par le syndicat des medecins spécialistes de mauritanie.et je suis sur d'avoir une reponse,car vous êtes "spécialiste en la matiere".
deyloule
Non à la grève
Les médecins spécialistes ont commis l'erreur de scinder les médecins en deux groupes. D'un coté les spécialistes et de l'autre les généralistes. Comme nos soit disant spécialistes font de la médecine générale, ils piétinaient ceux qui se laisser faire pour un but purement financier. Les médecins généralistes souffrent de l'hégémonie des médecins entre parenthèse ( spécialistes)comme si la spécialité de 4ans était le sommet du savoir et de la technicité médicale. Ouvrons les yeux et tendons l’oreille pour voir comment ils vont se comporter le 3 décembre 2007. Je ne suis pas fière d’appartenir à cette famille de spécialiste qui a pervertis notre pratique médicale et nos prescriptions. J’insiste et je signe qu’il n’est pas dans l’intérêt des médecins généralistes de suivre cet appel. Souviens toi mon ami, quand nous avons organisé notre grève du 11 mai 2005. Le premier qui nous a vendu était l’actuel président de l’ordre des médecins auquel nous avons fait confiance. Les autres spécialistes se sont relayé aux urgences pour venir au secours de la direction de l’hôpital. Ils ne nous ont pas suivi dans notre mouvement lâchement de peur de froisser le directeur de l’époque et le régime de l’époque.
Si le mouvement est pour qu’ils deviennent des agrégés subitement sans concours sérieux. il n’est pas question de laisser nos enfant se faire enseigner par des médecins qui n’ont pas le niveau et la pédagogie requise. Si c’est pour encore se valoriser sur le dos des autres médecins, il n’est pas question de les aidés dans leur sale besogne. Ils connaissent ma position. Si non il faut ouvrir et enquêter sur tous les diplômes avec lesquels ils exercent vous ne seriez pas au bout de vos surprises. Ils suffit de voir les entêtes et les cachets des membres du bureau de l’ordre pour pâlir de honte.
PS: mon bonjours à tous nos valeureux amis du 11 mai 2005
Nouakchott, Le 16 novembre 2007
A
Monsieur le Ministre de la Santé
Objet : Préavis de grève
Monsieur le Ministre, Par courrier en date du 9/10/2006, nous avons
attiré l’attention du Ministre en charge de la Fonction publique et de
l’emploi, à l’époque, sur l’incohérence du projet de statut particulier
des agents de la santé et de l’action sociale, et de son caractère
contraire à la loi 93-09 du 18/01/1993 portant statut général des
fonctionnaires et agents contractuels de l’état.
Les propositions de modifications et de rectifications convenues,
avec l’ancien Ministre de la Fonction Publique et de l’Emploi, concernant
la révision statutaire avec intégration dans la catégorie et le corps
correspondants aux années universitaires, et revalorisation de
l’échelle indiciaire ne sont pas apparues dans le décret final.
Nous avons engagé un dialogue responsable autour de cette question
cruciale pour nous, et au bout de deux ans (2005-2006) nous avons l’amer
constat qu’aucune promesse n’a été tenue.
Dans un souci permanent de concertation, nous avons sollicité une
audience auprès du Ministre de la Fonction Publique et de la Modernisation
de l’Administration par courrier en date du 25 /06 /2007.
Au cours de l’audience qu’il a bien voulu nous accordée, il a été
établi une identité de vues sur la recevabilité et la légitimité de nos
doléances.
Monsieur le Ministre, votre département a adressé au Ministère de la
Fonction Publique et de la Modernisation de l’Administration par
courrier en date du 1/08/2007 une correspondance sollicitant la révision du
décret 2007 -017 /PM faisant ressortir la nécessité de création d’un
corps propre des médecins spécialistes de profession.
Nous avons rappelé par courrier en date du 29/10/2007 à Monsieur le
Ministre de la Fonction Publique et de la Modernisation de
l’Administration que toutes les dispositions indispensables au respect de ses
engagements, en l’occurrence, le reversement de tous les médecins
spécialistes dans un corps spécifique doivent être prises.
Nous demeurons, Monsieur le Ministre, ouverts au dialogue et
dénonçons le non respect des engagements pris par le Ministre de la Fonction
Publique et de la Modernisation de l’Administration et le tenons pour
personnellement responsable du blocage du dialogue social.
Nous vous informons, Monsieur le Ministre, qu’une grève générale
illimitée de tous les médecins spécialistes, sur toute l’étendue du
territoire national dans les deux secteurs public et privé est prévue à
partir du lundi trois décembre deux mille sept à huit heures et cela
jusqu’à satisfaction de nos doléances légitimes.
La continuité des soins ne sera assurée que pour les urgences vitales
et les malades hospitalisés.
Le secrétaire général
Dr Amar o/ Mohamed lemine
Ampliations
-Ministère Fonction publique Modernisation Administration
-Directions Etablissements Publics Santé
comment va notre doc sa va ?
Il y a quoi de bon a mangé et a boire pour les non grevistes (lol!)
cordialement
ould mauritanie
peut tu changer de suijet etlaisse mon ami le colonel ould abdel aziz que je suis reconsable dans toute ma vie pour ce qu'il ma fait il a ecarté taya qui ma humilé a prisoné il à coupe les relation avec son parent proche l 'oncle de son pére le colonel ely ould mohamed vall il à limongé une dizaine d'officier dont des chefs d'etat major ;de directeur general ;de commendant de battaillon pour faire stabilser mon pouvoir merci mon colonel que dieu te protéger et me protéger de toi
vive le colonel abdel aziz
vive le colonel abdel aziz
زوجة الرئيس الموريتاني توبخ مدير التلفزة الوطنية
ختو بنت البخاري
نواكشوط ـ "الحدث" : افادت اسبوعية "لوكلام" الموريتانية ان ختو بنت البخاري، زوجة الرئيس الموريتاني، سيدي ولد الشيخ عبد الله، قد وبخت مدير التلفزة الوطنية، حمود ولد امحمد و هددته بالاقالة. القصة، كما روتها الصحيفة في عددها الأخير، بدأت منذ اسبوعين حينما بثت التلفزة الموريتانية برنامجا حواريا مرتجلا حول الاحتجاجات الشعبية العنيفة ضد غلاء المعيشة التي عرفتها موريتانيا مؤخرا. و قد شارك في هذه الطاولة المستديرة مستشار للوزير الاول و رئيس حزب سياسي و نقابي و مديران ناشران ليوميتين مستقلتين بالاضافة لصحفي من اسبوعية "لوكلام" نفسها. و كانت النبرة السائدة، خلال المداخلات، هي تبرئة حكام البلد من اية مسئولية في ارتفاع الاسعار و نسبة هذا الاخير الى "السياق الدولي العام".
مدير التلفزة العمومية، الذي كان يقضي عطلة مع ذويه في مدينة أشرم بولاية تكانت، دهش حينما شاهد البرنامج لانه لم يكن واردا في مخطط عمل هيئته، فما كان منه الا ان بادر بمهاتفة نائبه ولد بوكه، الذي اعتدز قائلا ان مقترح اعداد البرنامج و اسماء المشاركين وردته من محمد ولد الشيخ عبدالله، الابن البكر للرئيس الموريتاني . عندها، قرر حمود ولد امحمد، تضيف "لوكلام"، العودة الفورية الى نواكشوط، ثم التقى بالوزير الاول، الزين ولد زيدان و اشتكى له من تدخل ابن الرئيس في تسيير مؤسسة عمومية لاتربطه بها اية علاقة ادارية.
هذه الشكوى وصلت الى اسماع ختو بنت البخاري التي لم تتردد، حسب الاسبوعية، في الاتصال بمدير التلفزة و توبيخه على انه تذمر من حشر احد أفراد عائلة الرئيس لنفسه في ادارة مرفق عمومي. ولم تقف "السيدة الأولى" عند هذا الحد، بل انها هددت ولد امحمد بالتأديب و العقاب، وفق ما اوردته الاسبوعية الموريتانية. .في نفس السياق، علمت "الحدث" ان هذا البرنامج ادى، ايضا، الى فصل صحفي "لوكلام" الذي شارك فيه. فقد اعتبرت ادارة المؤسسة ان ماقاله، على شاشة التلفزة، يتناقض مع خطها التحريري و رؤيتها للواقع الموريتاني.
Est-ce que votre dernier article n'a pas ete censure par le journal comme il n'y a pas apparu
salut doc,bien entendu j'ai pas tapé à la mauvaise porte,dans ma quête de reponse.mais j'en ai encore une,qu'en dites vous de la liberation inopinée d'une prisoniere mauritanienne du droit commun dans un pays arabe à la simple demande insistante de khatou,la premiere dame,en revanche et de l'autre coté du monde(guantanamo)croupissent deux de nos concitoyens et personne n'a levé le petit doigt.tu comprends surement ce que je veux dire.je sais que tu es tout sauf islamiste,mais tu dis la verité de temps a autre. DEYLOULE
pauvre mauritanie je m'adresse a ceux qui se permettent de dire des choses comme vive ould abdel aziz c'est certainement certains de ses proches si ce n'est lui meme en tout cas je veux leur dire qu'ils n 'ont encore rien compris de ce qui se passe dans le pays, jamais une personne n'a ete autant detestee les quelques articles d'opportunistes ou de cousin n'y changeront rien encore moins les visites d'escrot etranger en rim
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