Il faut se ressaisir, pendant qu’il est temps. Aujourd’hui nous sommes un pays agressé sur son sol par ses propres fils. Des jeunes de moins de 20 ans, qui sont les victimes du système éducatif de ould taya et toute son équipe. Des jeunes qui ont étés abandonnés à leur sort et qu'on a jeté dans les bras ouverts des islamistes. Voilà les conséquences. Une bande d’illuminés qui sème la terreur dans le pays depuis quelques mois et depuis quelques jours dans notre capitale. Cette violence est contagieuse et pourrait faire effet boule de neige. Dans ce dossier des islamistes l’Etat est si faible qu’il ne veut pas d’une confrontation directe avec la nébuleuse. Le discours du président est le cri d’un naufragé qui s’accroche à une bouée. Leur détermination est à la hauteur de leur endoctrinement.
Lorsque j’ai atterri à l’aéroport de Nouakchott en provenance de Paris le 14 mars à 4 heures du matin, mon attention fut retenue par deux gros avions cargo militaires algériens sur le tarmac de l’aéroport qui déchargeaient du matériel militaire lourd, tard dans la nuit. J’ai eu une certaine inquiétude, au sujet de l’avenir de mon pays. L’implication de l’ALGÉRIE militairement signifie l’extension du conflit algérien à la Mauritanie, pays faible économiquement politiquement et militairement. Cette implication risque aussi d’envenimer encore plus nos relations politiques avec le puissant voisin du nord , le MAROC qui lui aussi est en conflit permanent avec le Polisario armé et soutenu par l’Algérie.........................etc la suite
Va-t-on vers une guerre civile en Mauritanie?
26-02-2008 journal LE CALAME
Si nul ne peut prédire l'avenir, les événements tragiques récents, la montée en puissance des extrémismes – quelqu’ils soient, quelqu’en soient les apparences et dessous de table –, un an de pouvoir calamiteux, la baisse du pouvoir d’achat, la pauvreté galopante, tous ces ingrédients semblent composer, à s'y méprendre, le cocktail originel des conflits africains de ces dernières années, en Afrique de l'Ouest en particulier. Une question vient dès lors à l’esprit : va-t-on vers une guerre civile en Mauritanie?
La situation du pays se résume ainsi : d’un part, misère extrême et souffrance sociale quasi endémique, citoyens excédés, économie brinquebalante, le tout sur fond de braderie des ressources naturelles de la nation. De l’autre, ministres gérant leur(s) portefeuille(s), hors de tout compte envers l’Etat et le peuple; élus de ce dernier, sourds et muets; militaires puissants et intouchables; barons de la drogue en toute quiétude ; islamistes ou soi-disant tels semant la terreur. Cerise sur le gâteau, voici les dinosaures de l’ancien régime «revenus» en force – étaient-ils jamais partis? – usant de tous les moyens et subterfuges pour user la corde – jusqu’où? – préserver leurs privilèges déments et durer, durer – jusqu’à quand?A l’ère de la fée-démocratie, les injustices multiples persistent et signent le quotidien des mauritaniens. Voilà de quoi aviver la flamme de la violence. Qui se souvient de la Mauritanie d’il y a vingt ans, à peine, pacifique et humaine? La Mauritanie d’aujourd’hui vit à l’ère des médias, à l’image du monde environnant, cruelle et inhumaine, informée tout aussi instantanément de l’assassinat d’un enfant dans un attentat à Islamabad ou au cours d’une «incursion» israélienne, que des dernières malversations de la raffinerie de Nouadhibou dont l’Etat semble protéger les responsables. Nous voilà en pilotage automatique, il n’y a pas de pilote dans la cabine, pas de leader charismatique et fédérateur. La molle attitude du gouvernement lors des tristes événements d’Aleg, de Ghallaouiya et de Nouakchott témoigne d’un certain amateurisme et d’une incompétence qui risquent d’accélérer sa déchéance : une révolte populaire? Militaire? Une guerre civile? Tous les conflits meurtriers ont ainsi commencé : un différend tribal, idéologique ou politique sur fond de crise socio-économique, le tout bien instrumentalisé par des médias complices. Demandez aux libériens, sierra léonais, rwandais, ivoiriens, congolais et autres tchadiens quelles satisfactions ont-ils tirées de leur guerre fratricide. Sinon des cadavres dans les rues, des enfants mutilés, des orphelins, et des populations déplacées par les horreurs d’une guerre aveugle et barbare. Ce désastre humain qui s’esquisse sous nos yeux, aurons-nous assez de sagesse – un brin y suffirait – pour l’effacer, l’expédier, sans plus attendre, au rayon des songes chimériques? Imaginez un peu. Nouakchott, huit heures du matin, odeurs de poudre et de sang, cris d’agonie. Files interminables de fuyards, à pied, en charrette, sur des ânes, accrochés aux portières de voitures surbondées, en route pour l’exil vers la région la plus proche, le Sénégal. Même désolation à Nouadhibou, les gens courant vers le Sahara occidental. Maisons en flamme, voitures calcinées, et des cadavres, partout, gisant dans la plus totale indifférence d’enfants armés jusqu’aux dents. Cauchemar. A tout cela, une seule véritable cause : l’injustice. Cette pratique quotidienne, odieuse, d’une minorité vivant dans l’opulence ostentatoire, insolemment affichée, pendant que d’autres croupissent dans la misère et l’ignorance. Vous sentez-vous choqués par ce discours effroyablement pessimiste? Prenez, en tout cas, le temps d’y réfléchir et que ce soit – je l’espère ardemment – son unique avenir…La «démocratie homéopathique» – on en rirait si ce n’était si triste – est une déception majeure, douloureuse, insoutenable. Le président actuel est devenu la vivante incarnation d’un homme sans pouvoir et sans personnalité, spectateur d’une dramaturgie politique où chacun des acteurs politiques joue – à merveille, hélas ! – son rôle destructeur.Quant à son premier ministre, parachuté à la tête du gouvernement le plus anarchique de l’histoire de notre pays, est-il en mesure de faire face à tous ces défis? Ou devrait-il démissionner, au plus tôt, dans l’intérêt suprême de la nation et de l’intégrité du pays? De nouvelles élections? La Mauritanie a besoin d’un homme d’avenir et non d’un homme du passé. Un vrai gouvernement collégial, de consensus national, véritablement au-dessus des clivages communautaires et idéologiques? Ce pays sans développement ni démocratie ne demande qu’une bonne volonté, un peu de rigueur et de fermeté. Il faut se ressaisir tant qu’il est temps. Sinon, l’éclatement nous guette; affaire de jours, de semaines, peut-être de mois. Démesurément pessimiste ou lucidement optimiste, ce que je ne veux surtout pas, c’est la guerre, l’infâme, la faucheuse. Aussi fais-je appel à la prévention de cette maudite, car je veux un seul peuple, une seule nation, un peuple uni dans sa diversité, dans le respect de la constitution rédigée par les militaires que j'ai, pourtant, dénoncés en 2006, des lois et des intérêts du pays. Aidons-nous, mauritaniens, et le ciel nous aidera!
Dr KLEIB ahmed salem
pour lire l'article original voir le journal LE CALAME de ce jour 26- fevrier 2008
7 commentaires:
c'est pas la mauritanie qu'il faut sauver cher ami, mais juste éviter que la tombe sous laquelle elle repose, ne soit souillé de sang frais, ça fait désordre dans un cimetière
une qustio mr ahmed salm qui ce bredelli
http://maaouiyaretour.blogspot.com/
lisez et faîtes lire:
Nous pouvons confirmer que la Mauritanie fait désormais partie du club « Ettekfir we ettevjir » (ce qui signifie littéralement « Apostasie et attentats »), c’est-à-dire du club des pays foyer du terrorisme, cela à cause de certains mauritaniens ; par aveuglement, ils méconnaissent le pacifisme de l’Islam, sa pureté, son refus de faire couler le sang des innocents.
Cependant, le doute est si fort que la thèse du complot s’impose d’elle-même. A l’exercice, nous pouvons nous assigner des limites, une centaine de lignes rouges, si vous voulez. Il n’en demeure pas moins que les récents évènements suscitent, en nous, beaucoup de scepticisme, d’interrogations. Les infimes particules, au départ éparses, peuvent s’agréger pour former un tout, une évidence établie, comme nous l’apprend la science criminelle.
Tentons l’expérience du doute général, universel ; mais sans nous départir de la logique. Utilisons notre matière grise, faisons travailler nos neurones.
Je vous concède, au nom de la raison dialectique, qu’il existe certainement des cellules dormantes – et d’autres éveillées – du salafisme djihadiste. En contrepartie, vous devez le reconnaître, avec moi, ces cellules dormantes, combattantes et guerrières, lesquelles poussent aujourd’hui tous les marginaux à la rébellion, ne se sont jamais manifestées durant tout le régime de Taya.
Pourtant, Ould Taya avait fait emprisonner et torturer leurs oulémas, leurs maîtres à penser. Il leur refusait la création de tout parti politique islamiste. En passant, excusez-moi, je ne sais pas distinguer entre les mobiles de l’islamiste armé et ceux de l’islamiste politique.
Alors, pourquoi les islamistes font-ils la guerre, de façon aussi désordonnée, mais sans relâche, à Sidi Ould Cheikh Abdallahi. N’est-ce pas lui qui a construit des mosquées jusque dans la Présidence, promis d’accorder une attention toute particulière aux Mahadras et écoles coraniques, reconnu deux partis islamistes, invité des oulémas et penseurs islamistes à siéger en conclave dans la capitale ? Le salafiste actuellement en fuite, Sidi Ould Sidna, l’un des accusés du meurtre des quatre touristes français l’a reconnu. Les PV de ses interrogatoires font foi.
S’agirait-il alors d’un improbable instinct de violence ingrate et gratuite qui répondrait au bien par le mal ? Plutôt, n’y auraient-ils pas des gens influents pour ne pas souhaiter la paix dans le régime si fragile de Sidi Ould Cheikh Abdallahi et dont la stratégie consisterait à multiplier les coups durs afin d’en accélérer la fin, quoiqu’elle coûte ?
Et qui d’autre en le calcul profite-t-il, si ce n’est à l’ancien Président, Ely Ould Mohamed Vall. Il quittait le pouvoir à contrecoeur, davantage par contrainte que par un prétendu héroïsme, suite à l’échec de son bulletin blanc. L’on, se souvient de l’échec de certains intellectuels acquis à son ambition, ayant appelé en vain à étendre la période d’une transition prétendument salvatrice. Qui d’autre serait à même de réussir un tel complot ?
N’est-ce pas lui qui a sacrifié 20 années de sa vie à la Direction générale de la sûreté nationale, d’où la connaissance, dans les moindres détails, de la sociologie et de la psychologie du pays profond et la mise en œuvre d’un vaste réseau d’hommes liges davantage redevables à sa personne qu’au métier de la police.
Qui aurait cru que l’attentat contre l’ambassade d’Israël est accidentel ?
N’est-il pas surprenant que Khadim Ould Semmane, cousin de Ely Ould Mohamed Vall, se soit évadé de prison durant sa présidence dans des conditions pour le moins douteuses ? Que Ould Semmane se rende à des cérémonies de mariage sans qu’il ne soit inquiété ? Que Ould Semmane convole en justes noces, à Nouadhibou, alors qu’il est recherché par la Police ?
Khadim Ould Semmane est le premier suspect dans l’opération de l’attaque de l’ambassade d’Israël. Rappelons que les auteurs de cette opération ont tiré des rafales pendant 20 mn, après quoi ils se sont retirés en douceur, sans que les forces de sécurité n’interviennent ni ne parviennent à les retrouver jusqu’ici.
Les Islamistes Centristes, alors réfugiés en Europe depuis l’échec de la tentative de coup d’Etat du 8 juin 2003, ont toujours accusé Khadim d’entretenir des liens avec les renseignements. Ils conseillèrent à Alioune Tine, président de la Rencontre Africaine des Droits de l’Homme (RADDHO, Dakar), de ne pas l’aider à les rejoindre en Belgique, car les islamistes centristes considèrent que Khadim n’était qu’un agent de renseignement au service de son cousin le Colonel Ely Ould Mohamed Vall, directeur général de la Sûreté Nationale de Ould Taya.
Puis il y eut cet attentat contre les quatre touristes français, orchestré par une bande de voyous, criminels récidivistes ayant des antécédents liés à la consommation de la drogue, au vol à main armée et d’autres menus larcins. La teurie a porté un rude coup au pouvoir du vieux Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, qui ploie, désormais, sous le fardeau d’une crise insurmontable.
S’agit-il de simples coïncidences, entièrement fortuites, que l’incident se déroule au Brakna, région natale de Sidi Mohamed Ould cheikh Abdallahi, dont l’ancien directeur régional de sûreté n’est autre que Mohamed Abdallahi Ould Taleb Abeidi (Ould Adde), bras droit du Colonel Ely Ould Mohamed Vall, par ailleurs homme connu pour sa ruse et sa grande intelligence ! Il est aujourd’hui directeur de la police judiciaire après un passage bref à la Sûreté de l’Etat sous la transition.
Et serait-il fortuit, que la réalisation de l’opération soit dévolue, précisément à Maarouf Ould Haiba, connu pour ses antécédents criminels (vols de voitures et attaques à main armée) ?
Ce jeune homme, instable, originaire de Lemden – tout comme le Président Sidi Ould Cheikh Abdallahi – dont la mère – Mint Loudaa – est cousine de ce dernier – a-t-il été choisi pour donner du souci à Sidi Ould Cheikh Abdallahi, devant l’opinion internationale, et l’Occident en particulier ? Le jeune Maarouf a suivi les mêmes études coraniques que Sidi Mohamed Ould cheikh Abdallahi et allait parfois se recueillir à Kaolack (Sénégal), haut lieu de la confrérie soufie de la Tijania, tout comme le Président de la République.
Est-ce par coïncidence que le rappeur raté Ould Chabarnou soit de la partie et que lui revienne le rôle infâme d’exécuter les quatre touristes français ? Est-ce hasard que son père et ses tantes aient grandi dans le village de Ehel Taleb Abeidi dont le chef n’est autre que le père d’Ould Adde, le directeur de la police judiciaire ? Et que les sœurs du jeune Chabarnou aient pour époux des cousins de Ould Adde ? De solides rapports spirituels lient le père du jeune Chabarnou à la chefferie de Ehel Abeidi près d’Aïoun, dans le Hodh.
Et l’opération d’évasion de Sidi Ould Sidina des locaux du Palais de Justice, comment peut-elle ne pas se rattacher à un complot ourdi on ne sait à quelle fin ?
Pure coïncidence, diriez-vous, que le portable dont s’est servi Sidi Ould Sidina pour appeler ses complices peu avant sa spectaculaire évasion appartienne à une personne issue du Hodh ? Tout comme la propriétaire de la villa où s’étaient cachés les salafistes près du centre emmetteur, sur la route de Nouadhibou? Tout comme ce jeune à la barbe fournie qui a été abattu par erreur dans une maison au nord ouest du Ksar, suite à une dénonciation anonyme à la police ? La femme bailleur, le détenteur du téléphone portable, la victime dela bavure, le terroriste Ould Chabarnou et Ould Adde sont tous deux du Hodh !
Il est quand même curieux que les investigations auprès de Ould Haiba aboutissent à l’identification d’une maison bourrée d’armes et d’explosifs… à quelques mètres à peine de la résidence de Ould Adde !
C’est peut-être bien une coïncidence aussi !
Quelqu’un se serait-il servi de l’énergie des jeunes salafistes, extrêmistes et complexés, pour les orienter à distance afin de cultiver la haine et la destruction, enfin semer l’instabilité?
Pour découvrir la vérité, cherchez du côté d’Ely Ould Mohamed Vall, de son bras droit Mohamed Abdallahi Ould Adde et du fauteuil présidentiel. Et dites à cet homme bon qui occupe le Palais : les hommes aux bottes t’ont offert un cadeau empoisonné. Sois fort ou ce sera la fin !
Par Hanevy Ould Dehah, Directeur de publication de www.taqadoumy.com
Edition du 11 avril 2008
Salam
j'ai volé un article de ton journal pour faire comme certain alors je compte sur toi face a la redaction de votre journal et surtour M FILLE DE D
a+ doc
Question philosophique, J'ai volé un article
Very few storms ever reach historic symmetries[url=http://www.coastdress4sale.co.uk/index.php]http://www.coastdress4sale.co.uk[/url] Properly as license plate framesAnd the thing about a visit to Sonora is that there's an additional treasure chest of history just in the next county[url=http://www.coastdress4sale.co.uk/]coastdress4sale.co.uk[/url] Smiled a great number of voicesRodricks analyses Goan clothing from the view of function and tradition[url=http://www.coastdress4sale.co.uk/]coast dresses[/url] The coast guard asked an additional vessel
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