Depuis quelque mois je suis victime de toute sorte de pression. Tout a commencé juste après mon arrivé à Nouakchott lorsqu’un ministre du gouvernement du Général m’a appelé sur mon portable pour me dissuader d’écrire dans le journal LE CALAME et sur mon blog contre la pensée du petit Général. J’ai refusé d’obtempérer en prétextant que l’intérêt du pays est au-dessus des liens de sang pour moi. J’ai du subir d’autres intimidations à travers des amis et d’autres cousins. Ce matin mon père un vieux ouvrier retraité et malade en convalescence a reçu la visite de plusieurs individus proche de la junte et de son kim il jung pour me museler.
la suite dans un instant.............
5 commentaires:
la terre continuera à tourner cher docteur.
les idées et les certitudes changerons avec le temps.
l'expression bac moins trois est tunisienne toi qui défend la proprièté intélectuelle.
un ami de longue date
Cher Docteur
Maintenant que Jouja wa MAjouja est apparu il ne faut pas le rater lui aussi, ce petit escros.
A+
c'est un homme en TEFAL "allusion aux casseroles du meme nom" les scandales glissent sur lui.
tout le monde reconnait que c'est un voleur notoire et pourtant personne n'ose le juger.
son cousin aussi ould abdel azize est dans la meme situation.
3 des 4 ex-candidats à l’ex-présidentielle initialement prévue le 6/6 par la junte et ses soutiens et finalement reportée après l’accord signé le 2 juin à Dakar, ont organisé le 26 juin, une conférence de presse pour demander à être associés à la solution préconisée par la communauté internationale et à percevoir des indemnisations pour les frais de leur campagne électorale, suspendue le 4 juin dernier.
M. Sghair Ould M’Barek (médiateur de la République; de son état), Sarr Ibrahima Moctar président de l’AJD/ MR et Kane Hamidou Baba ex-vice président (exclu) du RFD, ont organisé une conférence de presse à l’hôtel «El Khater» où ils ont parus, tendus et agités, notamment, pour ce qui est de Kane et Sghair qui a menacé même de descendre dans la rue .
«Nous saluons l’accord de Dakar, mais nous constatons des tergiversations et des atermoiements. Ce qui nous amène à nous interroger sur le sérieux des parties en conflit. Nous ne sommes pas parmi les parties en conflit, mais ne devons faire partie de la solution» a indiqué Kane Hamidou Baba, qui a ajouté : «le Conseil constitutionnel s’est prononcé récemment sur la base d’une saisine de candidats virtuels» en allusion à la décision rendue le 24 juin par le conseil constitutionnel invalidant les candidatures antérieures de la présidentielle du 6/6 maintenues dans un décret signé le 23 juin par «le président de la République par intérim », décision rendue , affirment des eminents juristes, afin de garantir l’équité et l’égalité entre tous les concurrents de la présidentielle consensuelle du 18 juillet 2009.
Il faut reconnaître que les tergiversations et atermoiements des trois candidats qui demandent à être associés les avaient finalement fait rangés par la communauté internationale dans le pôle du général Ould Abdel Aziz parce que n’ayant jamais dénoncé son putsch du 6 août et s’étant bien accommodés de cela, avec leur participation à la présidentielle unilatérale du 6/6.
A une question soulignant que «les candidats virtuels» auxquels à fait allusion Kane Hamidou Baba ne figurent pas dans les "Attendus" de la décision du Conseil constitutionnel qui se justifie surtout par les multiples entorses à la Constitution et aux prerogatives dévolues au Conseil, que contient le décret 2009-83 du 23 juin signé par « le président par intérim» notamment le délai de 72 heures donné pour le dépôt de nouvelles candidatures, le maintien des candidatures à l’ex-élection du 6/6 -et la perle- avec l’octroi du droit exclusif de contester les nouvelles candidatures aux seuls ex-candidats à l’ex-élection du 6/6, comme s’ils étaient des super citoyens ou des supermans; en reponse à cette question, l’ex-candidat Kane Hamidou Baba, qui attendait probablement de la candidature de Ahmed Ould Daddah au tournant et qui s’en trouve privé par la décision du Conseil constitutionnel, a répondu : «C’est un commentaire, vous faites l’avocat du diable». «Mais, le diable, c’est aussi le 6/6 !» a rétorqué le journaliste dont le réplique a été noyée par des applaudissements subjectifs et partisans venus de la foule venue rémonter un moral decidement affécté.
saleh ould hanana le putschiste criminel a quittè le pays pour la libye ce soir à la recherche de fonds pour sa campagne électorale:
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